الفهرس | Only 14 pages are availabe for public view |
Abstract Nous pouvons conclure la discussion sur la modalité intersubjective en tenant l’avis de Lequerler qui résume que «la modalité intersubjective est donc marquée dans les langues par de marqueurs variés qui peuvent être lexicaux, morphologiques, intonatifs. Ces marqueurs peuvent établir une dépendance syntaxique par rapport au contenu propositionnel, au bien en co-occurrence avec lui. L’interprétation de la modalité (comme un conseil, on ordre, une suggestion) dépend bien sûr du marqueur employé, mais également de conditions extralinguistiques, en particulier des rapports que le locuteur entretient avec son ou ses interlocuteurs» 1 Nous pouvons conclure la discussion sur le verbe « pouvoir modal» dans le discours de notre corpus comme un exemple de marqueur modal polysémique parce qu’il donne une interprétation selon différents valeurs se rattachent aux grands domaines de modalisation comme nous l’avons déjà dit. La signification de pouvoir recouvre les zones d’équivalence entre les différents domaines de modalisations. Après avoir analysé les différents types de modalités dans Les Alexandrins, nous avons remarqué que les modalités se manifestent dans ce discours à travers des marqueurs. 1 N. Lequerler, Op. cit., p. 105. 166 La modalité appréciative a été exprimée par des moyens intralinguistique comme des marqueurs lexicaux tels que : extraordinaire, heureux…etc. Enfin nous avons remarqué aussi la modalité intersubjective est exprimée par le dépendance syntaxique et par la cooccurrence.. |