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Abstract Notre recherche vise à montrer la capacité des étudiants de la 4ème année, faculté des Lettres, département du français, Université de Tanta de la prononciation, à mettre en évidence les sons qui leur représentent un problème et les sons bien prononcés et à leur faire prendre conscience de leurs fautes dans le but de développer cette compétence et illustrer l’interconnexion de ces fautes avec la communication aisée. Notre recherche révèle aussi si la langue maternelle et la deuxième langue s’interfèrent sur la langue française. En outre, cette recherche vise à analyser les erreurs les plus fréquentes qui peuvent affecter la prononciation du français des étudiants membres de l’échantillon, tout en les incitant à avoir une bonne conscience phonologique pour une prononciation pertinente et une communication aisée de la langue visée. En Égypte, pays arabophone, le français est enseigné comme 1ère langue étrangère dans quelques écoles privées. Par contre, le français prend la seconde place, après l’anglais aux écoles secondaires gouvernementales comme 2ème langue étrangère, durant deux années successives (1ère et 2ème année au cycle secondaire). Comme c’est le cas de nos étudiants (ici les effectifs de notre échantillon). Dès le début de l’apprentissage du français à l’université, les enseignants essayent de leur faire apprendre les compétences primordiales de la langue française: lire, parler et surtout écrire car le système d’évaluation consiste à la production écrite et non pas l’expression orale. Pour cette raison un grand nombre d’étudiants prononce les mots tels qu’ils sont rédigés et loin d’une perception auditive correcte et une bonne conscience phonologique, qui peuvent, à la rigueur, influencer leur prononciation. |